Petite histoire d’un cerveau qui travaille en zigzag
Je me souviens d’un coffret qu’on m’a offert vers l'âge de 8 ans: “Pour faire un bon petit chaperon”. Un kit complet pour monter une pièce de théâtre — textes, mise en scène, affiches, invitations. Je ne devais pas "jouer la comédie" : je devais faire tenir les morceaux ensemble. Et j’ai grandi avec cette idée qu’on pouvait créer quelque chose de sensationnel à partir de presque rien.
Très tôt, j’ai bricolé des site internet, assemblé des histoires, organisé des idées comme on met en scène une pièce : en pensant à l’invisible, à ce qui relie. Je n’ai jamais arrêté d’assembler des morceaux : des mots, des outils, des intentions. Le marketing s’est imposé comme une langue à apprendre — puis à désapprendre.
Aujourd’hui, j’accompagne celles et ceux qui veulent poser leur projet sans s’épuiser à le faire briller. Je les aide à remettre du sens, de la cohérence, un cadre juste. Et parfois, c’est suffisant pour tout changer.
